Homme Politique Egyptien 2019

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/ Moyen-Orient Publié le: 17/11/2021 - 19:11 Archive: des manifestants égyptiens crient des slogans contre le conseil militaire alors au pouvoir lors d'un rassemblement de soutien au député d'alors Ziad el-Elaimi devant le Parlement égyptien au Caire, le 21 février 2012. © AP Photo / Amr Nabil, Dossier L'homme politique et défenseur des droits de l'homme égyptien Ziad el-Elaimi a été condamné ce mercredi 17 novembre 2021 à cinq ans de prison par un tribunal de la sécurité de l'État pour « diffusion de fausses informations ». Cinq autres personnes, des journalistes et des activistes, ont été condamnés à des peines de trois à quatre ans de prison pour les mêmes accusations. Avec notre correspondant au Caire, Alexandre Buccianti Ziad el-Elaimi a été arrêté en juin 2019 en vertu de la loi de l'État d'urgence qui permet de détenir sans procès quelqu'un jugé par les autorités comme une menace pour la sécurité nationale. À l'époque, Elaimi projetait de former une coalition d'opposition pour participer aux élections législatives de 2020.

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Certains disent de lui qu'il a fait la pluie et le beau temps en Égypte durant vingt ans. Décédé le 21 septembre, Mohamed Hussein Tantawi était un homme politique, un maréchal et avant tout un soldat qui a participé à trois guerres contre Israël. Inamovible ministre de la Défense – de 1991 à 2011 – sous l'ère Moubarak, il poussera ce dernier vers la sortie. Le raïs sera destitué le 11 février 2011 après dix-huit jours de manifestations historiques. Né le 31 octobre 1935 au Caire de parents nubiens, le jeune Tantawi intègre l'Académie militaire égyptienne en 1952, l'année même où les Officiers libres, dirigés par Mohamed Naguib et Gamal Abdel Nasser renversent le roi Farouk et mettent fin à la prépondérance britannique en Égypte. Il y obtient son diplôme en 1956 et devient officier de l'armée et combattant de l'infanterie. Cette même année, Nasser – après avoir écarté Naguib deux ans auparavant – nationalise le canal de Suez en juillet. Quelques mois plus tard, le Royaume-Uni, la France et l'Israël commencent à bombarder l'Égypte clouant des centaines d'avions militaires égyptiens au sol.

Amnesty International a condamné ce 19 avril 2010 les déclarations d'un député égyptien, membre du parti au pouvoir, qui a exhorté les policiers à tirer sur les manifestants qui réclament une réforme politique depuis plusieurs semaines. « Je ne sais pas pourquoi le ministère de l'Intérieur se montre si clément avec ceux qui violent la loi, a-t-il déclaré en faisant allusion aux manifestants. […] Au lieu d'utiliser des jets d'eau pour les disperser, la police devrait leur tirer dessus; ils le méritent », aurait affirmé Hassan Nashat el Qassas, représentant du Parti national démocrate (PND), dimanche 18 avril 2010 lors d'une réunion parlementaire consacrée aux violations des droits humains commises par les policiers contre les manifestants. Plus de 100 personnes ont été arrêtées et des dizaines blessées dans le cadre de la violente répression des manifestations dont l'Égypte a récemment été le théâtre. « Ces déclarations inadmissibles sont clairement une incitation à faire un usage excessif de la force, ce qui est susceptible de déboucher sur l'homicide illégal de manifestants, a averti Amnesty International.