Escadron De Reconnaissance Et D'intervention Du - 6Ème Escadron Du 12Ème Régiment De Cuirassiers

Le 4e RCh entretient des capacités uniques, combinant les savoir-faire de la cavalerie à la rusticité et à la technique des troupes de montagne. Cette spécificité montagne le prédispose à combattre dans des conditions climatiques rudes et sur des terrains escarpés. Son rôle est donc de: Renseigner: s'infiltrer pour détecter l'ennemi et déceler ses intentions en l'observant depuis des points hauts ou en utilisant le relief pour rester masqué. Combattre: prendre l'ascendant en montagne grâce à la mobilité des engins blindés, la puissance des canons et l'expertise des commandos montagne. Contrôler: sécuriser les vallées, les hauteurs et les points clés du terrain montagneux pour empêcher l'ennemi d'y accéder. Le régiment est composé de: 3 escadrons de combat blindés; 2 escadrons de reconnaissance et d'intervention anti-char; 1 escadron de commandement et de logistique; 1 escadron de réserve. Le régiment est équipé d'AMX 10 RC revalorisés armés d'un canon de 105, d'ERC armés d'un canon de 90, de véhicules blindés légers (VBL) armés de mitrailleuse 12, 7, de MILAN ou de mitrailleuse 7, 62 et de véhicules de l'avant blindés (VAB).

Union Nationale De L'arme Blindée Cavalerie Chars - Unités Dissoutes

Nos images sont votre histoire Menu / Description Titre Un mitrailleur de l'escadron de reconnaissance et d'intervention du 1er RIMa salue le passage d'un homologue espagnol. Le convoi de la FCR s'achemine vers le camp espagnol de Marjayoun pour participer à un exercice interarmes. Description Exercice interarmes de la FCR (Force commander reserve) mêlant les sapeurs du 6e RG (régiment du génie), les maîtres-chiens du 132e BCAT (bataillon cynophile de l'armée de Terre), les fantassins de la section ERI (escadron de reconnaissance et d'intervention) du 1er RIMa (régiment d'infanterie de Marine) et une équipe de plongeurs démineurs de la base de Toulon, près du camp espagnol 4. 2 de Marjayoun. Cet exercice est composé d'une activité de reconnaissance de zone avec recherche d'IED (ou engin explosif improvisé) pour les sapeurs comprenant une phase de neutralisation par une équipe EOD (démineurs) et du combat en zone urbaine pour la section d'infanterie avec intégration d'une équipe cynophile.

Les Parachutistes De L'escadron De Reconnaissance Du 1Er Rcp

Une cavalerie à 40 escadrons? La dissolution du 4 ème régiment de Dragons est peut-être l'arbre qui cache la forêt des restructurations à venir au sein de la cavalerie. Comme expliquait le général Sainte Claire-Deville, le père de l'arme (en 2013), le pion de base de la cavalerie est l'escadron, pas le régiment. « La cavalerie, c'est cinquante escadrons très sollicités », confiait-il en mai dernier. Ce pourrait bientôt n'être plus que quarante escadrons, qui seraient au passage renforcé. Selon nos informations, les réflexions en cours pourraient aboutir à ce nouveau format, avec la suppression de dix escadrons, soit une réduction de 20%. Outre les quatre escadrons de Leclerc du 4 ème RD, dissous, six autres escadrons seraient supprimés. Plusieurs pistes sont à l'étude, en particulier la fusion des actuels 7 escadrons d'aide à l'engagement (sur VAB et VBL) à vocation antichar avec les 6 escadrons d'éclairage et d'investigations directement rattachés au niveau brigade. Ils deviendraient tous des ERIAC (escadron de reconnaissance et d'intervention antichar), à raison d'un par régiment lourd ou léger.

Création Du 2Éme Escadron De Reconnaissance Et D'intervention Tactique -

Par ailleurs, les escadrons Leclerc disposaient au REO10 d'un effectif inférieur à la centaine. 5. La structure organique quaternaire des régiments reste une référence. Par ailleurs, la structure des pelotons à quatre Leclerc avait montré toute sa pertinence, et la présence d'une patrouille d'investigation avait également montré son utilité dans les pelotons Leclerc. 6. Compte tenu de la situation opérationnelle de référence passée et actuelle, toute unité de cavalerie a été - et sera - amenée à être projetée sous la forme d'un SGTIA à base de VBL quelle que fut sa dénomination (EEI, EAE…). Ceci entraîne le fait que toute unité est capable, à la MCP près, de générer cette unité et de maîtriser en « fond de sac » les savoir-faire de base de l'investigation. Par ailleurs, aucun EEI organique n'a été employé en tant que tel en opérations aux ordres d'un commandement de niveau 3 (cette observation factuelle ne remet pas en cause cette occurrence possible d'emploi). Fort de ces constats, et compte tenu de l'objectif de déflation donné pour le chantier « Combat des blindés », l'organisation de la cavalerie proposée à l'automne 2013 a consisté à: - Transférer la capacité des PAD à l'infanterie; - Proposer l'abandon de la capacité VAB-HOT; - Abandonner la description organique des EEI; - Organiser tout régiment de cavalerie sur un modèle quaternaire à trois escadrons canon et un escadron de reconnaissance et d'intervention.

Le retour aux Brigades, en 1998, génère une nouvelle mutation, les EED devenant des EEI ( Escadrons d'éclairage et d'investigation) qui perdent leur autonomie et deviennent des unités élémentaires de leur corps support. Les EEI voient leurs moyens se muscler, avec en particulier l'incorporation d'une équipe de plongeurs de l'Armée de Terre (PAT) au sein de leur premier peloton d'éclairage et d'investigation. Actuellement, 6 des 9 Brigades interarmes disposent d'un EEI: > 1ère Brigade Mécanisée: EEI 1 (501e–503e RCC – Mourmelon) Ancien EED 10, devenu EEI 1 en 1998. > 2e Brigade blindée: EEI 2 (6e–12e RC – Olivet) Ancien EED 2, devenu EEI 2 en 1998. > 3e Brigade mécanisée: EEI 3 (1er–11e RC – Carpiagne) L'ex EED 1 a suivi le 1er Cuirassiers lors de son transfert à Carpiagne pour la formation du 1er–11e Cuirassiers. Il est devenu EEI 3 en 1998 et conserve les traditions du 1er Escadron du 5e Cuirassiers. > 6e Brigade légère blindée: EEI 6 (1er REC – Orange) L'EED 6 a été formé en 1997 par transformation du 4e Escadron du 1er REC qui était jusqu'alors équipé de VAB Hot qui sont transférés à la CAC du 2e REI à Nîmes.

C'est le Capitaine Marcel PARTY qui fut le dernier patron de l'ESCADRON et le premier Commandant d'unité de la C. Il conserva tout naturellement le FANION à queue de cheval de l'ESCADRON qui était présenté aux cotés du FANION de la nouvelle C. lors des prises d'armes. Initiant ainsi une belle tradition, encore partiellement en usage dans les années 70 ou le Capitaine commandant la C. conservait pieusement le FANION de l'ESCADRON dans son bureau. Ce n'était pas la première fois que des Hussards Parachutistes servaient sous les plis du DRAPEAU du 1° R. Le II/1°R. (INDOCHINE 1948 - 1950) comptait dans ses rangs un escadron du 1° R. H. sous la dénomination de 6° Compagnie. Il n'y a pas - au sens de la filiation - de rapport entre l'ESCADRON du 1° R. et cette 6° COMPAGNIE. Par contre il existe un lien affectif très fort, né de tous ces combats partagés en EXTRÊME ORIENT et en A. N., entre les HUSSARDS et les CHASSEURS PARACHUTISTES. A son retour d'Algérie, le 1er R. P occupa le casernement de Moulins-Lès-Metz dans l'est de la France.