Loi Sur Le Statut De La Fonction Publique Neuchâtel

Pour supprimer l'inégalité de traitement entre mères, les partis de gauche ont déposé un projet de loi demandant que le congé maternité débute le jour de l'accouchement. En commission, tous les groupes ont reconnu le problème, mais le PLR a déposé un amendement proposant de réduire la durée à 16 semaines (3, 7 mois). Ce "mauvais signal", selon Claude Grimm, concernerait les femmes soumises à la loi sur le statut de la fonction publique, à savoir le personnel de l'administration cantonale, des communes et de certaines entités parapubliques, mais aussi les enseignants ainsi que le personnel administratif de l'Université de Neuchâtel. Une péjoration plutôt qu'une correction Plutôt que de simplement corriger une injustice touchant une partie des femmes enceintes, la droite a décidé de péjorer les conditions de travail de l'ensemble du personnel féminin, ont déploré les sept intervenants. Selon les organisateurs et organisatrices de la conférence de presse, la proposition "n'est aucunement fondée sur des arguments financiers".
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Amendement PLR Depuis plus de 30 ans, les femmes de la fonction publique neuchâteloise bénéficient d'un congé maternité de quatre mois, soit 17, 4 semaines. La durée peut toutefois être réduite jusqu'à 24 jours si la mère se trouve en congé maladie en fin de grossesse pour une raison en lien avec cette dernière. Pour supprimer l'inégalité de traitement entre mères, les partis de gauche ont déposé un projet de loi demandant que le congé maternité débute le jour de l'accouchement. En commission, tous les groupes ont reconnu le problème, mais le PLR a déposé un amendement proposant de réduire la durée à 16 semaines (3, 7 mois). Ce «mauvais signal», selon Claude Grimm, concernerait les femmes soumises à la loi sur le statut de la fonction publique, à savoir le personnel de l'administration cantonale, des communes et de certaines entités parapubliques, mais aussi les enseignants ainsi que le personnel administratif de l'Université de Neuchâtel. Meilleure conciliation Plutôt que de simplement corriger une injustice touchant une partie des femmes enceintes, la droite a décidé de péjorer les conditions de travail de l'ensemble du personnel féminin, ont déploré les sept intervenants.

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Le congé maternité pour les femmes fonctionnaires du canton de Neuchâtel - enseignantes et employées de l'administration cantonale - est loin d'être un droit acquis! Le congé maternité pour les femmes fonctionnaires du canton de Neuchâtel est actuellement de 4 mois (122 jours), et il peut être raccourci jusqu'à 24 jours si les femmes doivent diminuer ou cesser leur activité avant l'accouchement pour une raison médicale liée à la grossesse. Et ceci même si cette interruption est justifiée par un certificat médical. Dernièrement au lieu de rétablir un congé maternité qui commence le jour de l'accouchement, la droite souhaite écourter la durée du congé maternité de toutes les femmes soumises à la Loi sur le statut de la fonction publique (LSt) et qui travaillent à l'État, dans des communes, les cercles scolaires et dans des entités parapubliques. Pour notre syndicat et ses militantes, le droit des femmes est une priorité au niveau de la réflexion et de l'action syndicale. Retrouvez ci-dessous nos campagnes en cours.

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NPA / Lieu: 2000 Neuchâtel Adresse: Hôtel des associations Rue Louis Favre 1

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Selon les organisateurs de la conférence de presse, la proposition «n'est aucunement fondée sur des arguments financiers». «Les coûts d'un congé maternité débutant le jour de l'accouchement pour toutes les femmes seraient totalement insignifiants pour l'Etat», ont-ils estimé. En Suisse, malgré des congés «nettement moins généreux que dans les pays voisins, la tendance est à l'allongement de ces derniers». L'idée générale vise à permettre une meilleure conciliation entre la vie professionnelle et la vie privée, ont rappelé les partis de gauche, les syndicats et les mouvements féministes présents. L'amendement du PLR est soutenu par le Conseil d'Etat. Le dernier mot reviendra prochainement au plénum du Grand Conseil. lp, ats