Le Pouvoir Des Fables - La Fontaine - Commentaires Composés - Shanez76

La simplicité permet une compréhension plus facile. [... ] [... ] Il est particulièrement connu pour ses Fables, publiées en 1693. Elles mettent en scène des animaux ou des hommes et reflètent la vie sociale et politique. La fable étudiée est intitulée Le pouvoir des fables Comme son titre l'indique, celle-ci illustre l'utilité et l'efficacité des fables, qui sont plus séduisantes que les discours sérieux. - Lecture - Problématique - Annonce de plan I. Deux récits emboités: la mise en abîme La fable contient deux récits emboités, qui permettent de présenter deux méthodes de discours: le discours sérieux et le discours plaisant. ] Histoire présentée comme une histoire vraie. Un discours rhétorique Le discours de l'orateur se caractérise par sa violence, sa puissance art tyrannique + il parla fortement 4). Utilisation de la rhétorique notamment par le recours aux figures de style comme la prosopopée il fit parler les morts 9). L'échec du discours Inefficacité de ce discours montrée par des phrases courtes.

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Dramatisation: dégénérer L'érudition Hercule (héros antique d'une force prodigieuse), l'Hydre de Lerne est un monstre à plusieurs têtes. Pour un habitant du Parnasse: C'est sur cette montagne de Grèce que vivaient les Muses inspiratrices des poètes. Cérès la déesse des moissons dont on célébrait les mystères à Éleusis. Peau d'Âne La Fontaine parle de celle de Louison dans Le Malade imaginaire de Molière. Les mises en abyme 1. ] Plan détaillé: Le pouvoir des Fables, La Fontaine Introduction: Dédiée à M. De Barillon d'Amoncourt, ambassadeur de France en Angleterre que La Fontaine rencontra dans un salon littéraire parisien, celui de Mme de la Sablière, cette fable sous forme d'apologue tend à revaloriser les fables, considérées sous Louis XIV comme mineures. Et à travers l'apologie qu'il en fait, La Fontaine n'oublie pas non plus de critiquer son époque. Si l'on considère que la politique est la façon dont les sociétés s'accordent entre elles, alors, l'originalité de notre propos à cet égard s'orientera sous trois axes et toujours sous cet angle. ]

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La Fontaine, Fables, VIII, 4, « Le Pouvoir des Fables » extrait, de « Dans Athènes… » à la fin; Jean de La Fontaine est l'un des fabulistes les plus connus en France. Il vécu au XVIIème siècle (1621-1695) et connu un vif succès grâce à ses nombreux recueils de fables. Le texte que nous allons étudier, « Le Pouvoir des Fables » est un texte particulier. Il se situe dans le 2nd volume desFables de La Fontaine, qui regroupe des textes plus théoriques que dans les autres volumes, dans lesquelles La Fontaine expose souvent sa vision de la fable et de ce que doit être le travail du fabuliste. Jean de La Fontaine reprend ici une fable d'Esope, et approfondit sa réflexion. En effet, Esope critique la part d'enfance des hommes et la réfute alors qu' au contraire, La Fontaine défendle besoin des hommes d'apprendre en s'amusant. En quoi peut-on dire que ce texte constitue un art poétique (=texte qui définit et défend les caractéristiques d'un texte) à travers un triple éloge? Axes: I. Un éloge de l'argumentation indirecte de la fable (en opposition à l'argumentation directe de l'éloquence) II.

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Commentaires Composés: Le Pouvoir Des Fables - La Fontaine. Recherche parmi 272 000+ dissertations Par • 10 Mars 2013 • 1 638 Mots (7 Pages) • 1 089 Vues Page 1 sur 7 Ce texte « Le pouvoir des fables » a été publié par La Fontaine en 1678. Ce célèbre fabuliste met le plus généralement en scène des animaux afin de faire passer des morales ou pour critiquer la cour du Roi Louis XIV. La fable, en tant que forme d'apologue, présente un enseignement sous une forme didactique et plaisante. Dans le « pouvoir des fables », La Fontaine défend l'apologue en même temps qu'il adresse une mise en garde politique à l'Ambassadeur du Roi, M. de Barillon. Dans quelle mesure cet apologue, art poétique de La Fontaine, apporte-t-il un enseignement sur la manière de gouverner? La première partie montrera que le fabuliste fait l'éloge de l'homme politique, M. de Barillon tandis que la seconde mettra en avant la manière dont l'auteur se sert de la politique comme défense de l'apologue. La fable se caractérise par sa forme particulière.

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L'orateur est celui qui par la parole tente de convaincre la foule à laquelle il s'adresse, il sait manier la parole, le logos dans un but précis, persuader, convaincre. Ici, l'auditoire concerné est le peuple d'Athènes à qui le logos s'adresse. L'orateur est celui qui, entre l'auditoire et la patrie d'Athènes joue le rôle d'intermédiaire = « courut à la tribune », « voulant forcer les cœurs dans une république ». L'art de bien parler est doublé d'une forte détermination à mener à bien sa mission. L'engagement est total ainsi que le suggère l'adverbe de manière «fortement » pour qualifier la puissance de sa parole partagée qui brave tous les obstacles « et du péril qui le menace ». Les figures de rhétorique On note dans un premier temps, une prosopopée (figure de style qui consiste à faire parler les morts ou les objets, nombreuses chez La Fontaine), vers 9 «il fit parler les morts ». Vers 11, nous pouvons souligner la périphrase «l'animal aux têtes frivoles » qui connote la foule, l'auditoire.

Cependant faites-moi la grâce De prendre en don ce peu d'encens. Prenez en gré (2) mes vœux ardents, Et le récit en vers qu'ici je vous dédie. Son sujet vous convient; je n'en dirai pas plus: Sur les éloges que l'envie Doit avouer qui (3)vous sont dus, Vous ne voulez pas qu'on appuie. Dans Athène (4) autrefois peuple vain et léger, Un Orateur voyant sa patrie en danger, Courut à la Tribune; et d'un art tyrannique, Voulant forcer les cœurs dans une république, Il parla fortement sur le commun salut. On ne l'écoutait pas: l'Orateur recourut A ces figures violentes Qui savent exciter les âmes les plus lentes. Il fit parler les morts (5), tonna, dit ce qu'il put. Le vent emporta tout; personne ne s'émut. L'animal aux têtes frivoles Etant fait à ces traits, ne daignait l'écouter. Tous regardaient ailleurs: il en vit s'arrêter A des combats d'enfants, et point à ses paroles. Que fit le harangueur? Il prit un autre tour. Cérès, commença-t-il, faisait voyage un jour Avec l'Anguille et l'Hirondelle: Un fleuve les arrête; et l'Anguille en nageant, Comme l'Hirondelle en volant, Le traversa bientôt.