Poesie De Rue

La Poesie De La Rue ON SE RETROUVE Ce soir on va en profiter, Car depuis le temps que l'on est marié, Nous n'avons pas pris une soirée, Pour s'échapper du quotidien. Ce soir on va en profiter, alors allons danser Le temps a passé sans se regarder, On vient seulement de se découvrir, Nous avons perdu des années, A courir après n'importe quoi. Poème route - 19 Poèmes sur route - Dico Poésie. Mème si la fin du mois va s'en ressentir, Oublions pour un moment ce qui nous a éloigné. Un peu gauche devant tous ces couples, Perdu sur la piste car les danses ont évoluées. Dansons sans se préoccuper c'est notre soirée. Serrons nous l'un contre l'autre, Comme le jour de notre première rencontre, Faisons abstraction de notre age, Car demain sera un nouveau jour. Alors il faut en profiter, dansons mon amour.

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Si vous transformez les rues en stades Ne vous étonnez pas Qu'on tire sur les gardiens. La police ne tue pas L'état ne vole pas Et moi je n'écris pas sur les murs. Demain meurt déjà Retrouvons le goût de l'effort De lancer des pavés! Camarade Sauve une liberté Pète une caméra. Ce qui est sûr: La révolution Ne sera pas autorisée. Si eux se taisent - Ce sont les pierres Qui hurleront. Oui L'essentiel est pourri Le reste est pour eux. La hiérarchie C'est comme les étagères Plus c'est haut, moins ça sert. Ce poème ne sera jamais édité! Mes mots sont trop brulants Pour le papier. On rentre à l'école Pour apprendre Qu'il faut s'en sortir. Et puis On nous enseigne A grandir au puéril de nos vies. Aussi adulte La liberté meurt En sécurité. Poesie de rue st. Leçon de la vie Elèves dociles Adultes serviles. En France L'amour court les rues Les connards aussi. La poésie est morte, Vous consommez Son cadavre. La poésie est dans la rue

De quel œil verront-ils, du fond des mers sans borne, À la place où jadis s' étalaient tes splendeurs, Émerger brusquement dans leur nudité morne, Des continents nouveaux sans verdure et sans fleurs? Ah! si l' attraction à la céleste voûte Par de fermes liens ne les attachait pas, Ils tomberaient du ciel ou changeraient de route, Plutôt que d' éclairer un pareil ici-bas. Nous que rien ne retient, nous, artistes qu' enivre L' Idéal qu' ardemment poursuit notre désir, Du moins nous n' aurons point la douleur de survivre Au monde où nous avions espéré le saisir. Nous serons les premiers que les vents et que l'onde Emporteront brisés en balayant nos bords. Dans les gouffres ouverts d'une mer furibonde, N' ayant pu les sauver, nous suivrons nos trésors. Activité sur "la poésie de rue" - Planet'anim. Après tout, quand viendra l' heure horrible et fatale, En plein déchaînement d' aveugles appétits, Sous ces flots gros de haine et de rage brutale, Les moins à plaindre encore seront les engloutis. Le déluge Poèmes de Louise Ackermann Citations de Louise Ackermann

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Le vent s'engouffra par l'ouverture et déposa un grain de sable sur la table harmonique du ébouriffé, mais bien installé, il écoutait, fasciné, la musique de ce virtuose qui se poursuivait. Petit Grain appréciait chaque soir ces magnifiques concerts. Comme Novecento, il s'enrichissait de l'observation et des conversations des passagers. A partir de la grande salle de bal, ils voyageaient ensemble à travers le monde entier. Novecento, né sur ce bateau, en connaissait chaque recoin et n'avait jamais voulu quitter le navire ni s'aventurer à terre. Petit grain se cachait quand venait l'heure du ménage et du redoutable aspirateur, bien décidé à garder cette place privilégiée. Il admirait la douceur et la gentillesse de Novecento. Poesie de rue sur. La soirée la plus mémorable se déroula durant l'été 1931. Un dénommé Jelly Roll Morton, se disant l'inventeur du jazz, monta à bord et lança un défi à Novencento: un duel au piano dans la grande salle de bal. Qui serait le meilleur? JRM joua le premier, un ragtime.

À VICTOR HUGO Tu l'as dit: C'en est fait; ni fuite ni refuge Devant l' assaut prochain et furibond des flots. Ils avancent toujours. C'est sur ce mot, Déluge, Poète de malheur, que ton livre s'est clos. Mais comment osa-t-il échapper à ta bouche? Ah! pour le prononcer, même au dernier moment, Il fallait ton audace et ton ardeur farouche, Tant il est plein d' horreur et d' épouvantement. Vous êtes avertis: c'est une fin de monde Que ces flux, ces rumeurs, ces agitations. Nous n'en sommes encore qu'aux menaces de l'onde, À demain les fureurs et les destructions. Déjà depuis longtemps, saisis de terreurs vagues, Nous regardions la mer qui soulevait son sein, Et nous nous demandions: « Que veulent donc ces vagues? Poesie de rue de. On dirait qu' elles ont quelque horrible dessein. » Tu viens de le trahir ce secret lamentable; Grâce à toi, nous savons à quoi nous en tenir. Oui, le Déluge est là, terrible, inévitable; Ce n'est pas l' appeler que de le voir venir.

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William Blake « Auguries of Innocence » « Voir le monde dans un grain de sable et voir le paradis dans une fleur sauvage, tenir l'infini au creux des mains et l'éternité dans une heure ». (1) Novecento: pianiste. Alessandro Baricco. Folio n° 3634