Le Bal Du Viol

Le Bal du viol Titre original: Réalisé par: Pierre-B. Reinhard Produit par: Georges Markman Cinévog Genre: Pornographique Durée: 01:15:00 Année: 1983 Date de sortie en salle: 06/04/1983 Pays: France Pseudonymes ou alias: * Leïla, ** Nadia Welcome Titre secondaire: RipouX (le)

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Mis à jour le 11/12/2015 à 11h44 Validation médicale: 11 December 2015 Versées dans le verre des victimes, certaines substances annihilent toute velléité de résistance et entraînent une amnésie partielle de la soirée... Ce sont les fameuses "drogues du violeur". Ce phénomène inquiétant touche prioritairement les femmes et les jeunes. Ce qu'il faut savoir pour s'en protéger. Si le premier rendez-vous est souvent un instant magique, il peut tourner au cauchemar. Car une nouvelle menace a fait son apparition depuis quelques années: la drogue du violeur. Mais derrière cette appellation générique se cachent plusieurs médicaments détournés de leur usage. Après une enquête de près de deux ans, l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) rend un rapport complet, de l'identification des substances utilisées aux conséquences chez les victimes… 119 cas de soumission chimique recensés en deux ans Le nombre d'agressions commises grâce à ces drogues serait en constante augmentation dans les pays anglo-saxons.

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Le bal des folles, une page sombre de l'histoire de la psychiatrie. Dans son livre « Le bal des folles », Victoria Mas nous propose de suivre Eugénie, jeune femme d'une famille aisée enfermée de force à la Salpêtrière. L'histoire nous plonge dans la société patriarcale du 19 e siècle et permet au lecteur d'avoir une idée de la condition des femmes à cette époque. Avant son internement Eugénie est une jeune femme qui aspire à ne pas se conformer au modèle féminin de l'époque. Eugénie n'accepte pas d'être reléguée à la place qui est assignée aux femmes de cette société patriarcale. Elle s'invite dans les clubs de réflexion des hommes, y intervient et dérange leurs certitudes. Elle sait que plusieurs autres femmes ont été internées pour avoir tenu tête aux hommes. Eugénie s'efforce donc de mesurer ses propos et rester dans les limites de la place qui lui est attribuée. Seulement voilà, Eugénie présente des délires. Elle communique avec des personnes décédées. Dans un premier temps elle parvient à le garder pour elle mais tout bascule lorsqu'elle en parle à une personne en qui elle avait confiance: sa grand mère.

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Geneviève revoit ces pères lorsque le sien la rejette, au chapitre 9: « Soudain, il ressemble à ces pères, tous ces pères qu'elle a vus s'asseoir dans son bureau, accablés par le mépris et la honte d'une fille dont ils ne voulaient plus, ces pères qui signaient, sans aucun remords, les fiches d'internement d'une enfant déjà oubliée » p. 167‑168. Pourtant, que ce soit Eugénie, qui provoque son père au chapitre 2, puis réussit non seulement à s'échapper de l'hôpital mais surtout à se consacrer à son don, ou Geneviève qui contribue à cette évasion et se place du côté des femmes en restant avec les aliénées, cette domination est contestée par les héroïnes du roman.... Uniquement disponible sur

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Tout en elle, soudain, s'éteint » p. 222. Ensuite, nous constatons la domination des pères. Cela est incarnée par le père d'Eugénie qui l'interne de force. Sa domination s'exerce sur toute la famille, comme le montre cette phrase au chapitre 2: « Maintenant qu'il a parlé, les autres peuvent prendre la parole » p. 23. Il impose le silence à sa fille dès qu'elle le contredit, mais surtout, il l'emmène à la Salpêtrière dès qu'il apprend l'existence de ses dons: « Tu es une Cléry. Où que tu ailles, tu porteras notre nom. Il n'y a qu'ici que tu ne le déshonoreras pas » p. 72. Pour ce père, sa fille n'a pas d'existence propre. Et de fait, son existence sociale dépend de lui. Les pensées rapportées de Geneviève, au chapitre 5, généralisent cette idée: « C'est bien le sort le plus malheureux: sans mari, sans père, plus aucun soutien n'existe – plus aucune considération n'est accordée à son existence » p. 79‑80. Cette figure de style est une accumulation, qui montre une fois de plus, les pensées des personnages rapportées au point de vue interne et qui traduisent les positions prises par le roman.

C'est même surtout l'inverse, il s'agissait d'un lieu d'enfermement et de maltraitance.