Le Ciel Est, Par-Dessus..., PoÈMe De Paul Verlaine - Poetica.Fr

La ville est-elle synonyme de modernité, de progrès, de confort, d'espoir et d'effervescence? Ou bien de paupérisation, de pollution et de menaces? Dès la fin du XIX e siècle, les débats actuels sont posés. La ville devient un enjeu pour l'avenir. Ces questionnements profondément contemporains intéressent nos élèves et permettent de les initier à l'argumentation. Le ciel et la ville poésie 2. Au-delà des lectures analytiques, l'étude de la représentation de la ville dans les œuvres poétiques leur fournit des exemples littéraires pour nourrir leur réflexion.

Le Ciel Et La Ville Poésie D'amour

Zone d'Apollinaire est un classique. Sinon dans le site weblettres le dossier 48 propose des titres (je te les copie). Je pense que tu trouveras ton bonheur. - APOLLINAIRE G., Alcools, « La Chanson du Mal-Aimé ». - APOLLINAIRE G., Alcools, « Zone ». - APOLLINAIRE G., Calligrammes, « Les Fenêtres ». - ARAGON L., Le Paysan de Paris (prose). - ARAGON L., Le Roman inachevé, « Rappelez-vous ce que de Londres... » - ARAGON L., « Il ne m'est Paris que d'Elsa ». - AUSTER P. (sur New-York). - BAUDELAIRE C., Les Fleurs du mal, « Rêve parisien », « A une passante », « Les Fenêtres ». Le ciel est, par-dessus..., poème de Paul Verlaine - poetica.fr. - BAUDELAIRE C., Les Fleurs du mal, notamment la section « Tableaux parisiens » (« Paysage », « Les Sept Vieillards », « Les Petites vieilles »... ). - BAUDELAIRE C., Petits poèmes en prose / Le Spleen de Paris, « Les Foules ». - BENABAR, Saturne (chanson; registre satirique). - BERTRAND A., « Harlem » (poème en prose). - BRETON A., Clair de terre, 1923, « Tournesol ». - BRETON A., L'Amour fou (extrait). - CELINE L.

La Fontaine, dans ses Fables, nous met d'ailleurs en garde: le confort de la cour a un prix, celui de la liberté et de la tranquillité. Le Rat des champs ne s'y trompe pas et préfère renoncer aux festins de rois. Loin de la ville, la vie est plus paisible. Qui voudrait subir les embarras de la vie parisienne que Boileau décrit, non sans humour, en peignant une ville aussi bruyante et encombrée que dangereuse? Le ciel et la ville poésie la. Se promener dans les rues, au milieu des chantiers qui foisonnent, relève d'un véritable parcours du combattant. Et si on n'est pas arrivé à destination, on est encore heureux d'être toujours en vie… 2. La ville, écho de la modernité poétique Gustave Caillebotte, Le Pont de l'Europe, 1876, huile sur toile, 125 x 181 cm, Musée du Petit Palais, Genève Avec le romantisme, le lyrisme s'ancre dans la nature. Les paysages se font les reflets des émotions et sentiments du poète. Mais à partir de la deuxième moitié du XIX e siècle, sous le Second Empire notamment, la ville évolue et se transforme sous l'impulsion de la révolution industrielle et des travaux haussmanniens.