La Bete Humain Emile Zola Chapitre 1 Analyse

Cette scène rappelle les pulsions meurtrières de Lantier, qui a toujours envie de tuer des femmes. Le deuxième accident implique de nouveau Lantier avec des femmes, mais cette fois-ci deux vraies femmes. C'est une lutte entre Flore, la femme forte, la femme libre, qui se venge de Séverine, la femme douce qu'aime Lantier. La dernière scène est une lutte entre deux hommes, à cause d'une femme. Mais cette fois, les deux êtres humains perdent la lutte, et c'est la machine qui continue, qui fonce, qui est libre. III Qui est la bête humaine? Le titre peut se rapporter aux personnages du roman qui ont des pulsions meurtrières. Ainsi, Roubaud est prêt à tuer Grandmorier, fou de jalousie car il a abusé de sa femme. Analyse de la bete humaine d'emile zola - 3402 Mots | Etudier. Il passe à l'action. C'est la jalousie aussi qui entraîne Flore à commettre un accident qui va coûter la mort à plusieurs personnes. Quant à Misard, il empoisonne sa femme pour hériter. Ce sont des êtres terrifiants, car ils trouvent toujours que le meurtre est la solution pour assouvir leur jalousie ou obtenir de l'argent.

La Bete Humain Emile Zola Chapitre 1 Analyse Fonctionnelle

Elle pèche pour la cupidité, par orgueil: « une sorte d'orgueil » (L. 3). On est en pleine hybris (démesure). Ironiquement, le discours de Sévérine est ambigu, il peut annoncer son propre meurtre: « il faut s'aimer autrement que les autres » « tu sais qu'il va être là » (L. 15) et « il peut frapper » (L. 16). Symboliquement, Sévérine meurt dans une chambre au décor rouge: « chambre rouge » (L. 40), « ces teintures rouges » (L. 40) et « ces rideaux rouges » (L. 40). ] Le texte suggère aussi la possession démoniaque: « clameur de la foule » (L. 9). On trouve également le mythe du vampirisme avec « le cou nu se tendait, si blanc » (L. La bête humaine - 1S - Profil d'œuvre Français - Kartable. 12) et « le couteau lui cloua la question dans la gorge » (L. 34). L'anacoluthe aux lignes 25-26 montre qu'il perd le langage. La métamorphose est encadrée par le souffle de Jacques avec « il ne soufflait plus » (L. 8) et « c'était lui qui soufflait » (L. 50). ] La Bête humaine, chapitre XI – Emile Zola (1890) – Quelle est la symbolique du meurtre? Émile Zola (1840-1902) est un écrivain et journaliste français.

Cette scène peut même apparaître comme une parenthèse, au demeurant négligeable, dans la mesure où elle n'apporte aucun élément nécessaire à l'intrigue. En outre, installant son personnage dans une "attente désœuvrée, Zola en profite pour nous en dresser le portrait. Ainsi combiné à un morceau descriptif, ce récit de l'attente ne paraît générer aucune narrativité mais se contente de transmettre au lecteur l'ennui et la désolation qui envahissent Roubaud. Il ne faut toutefois pas s'y tromper. Derrière cette apparente apathie du personnage se profile une exaspération et une violence qui perce du portrait lui-même. La bete humain emile zola chapitre 1 analyse transactionnelle. Le portrait de Roubaud ressort ici d'une véritable scène d'exposition, à l'instar de celui de Séverine un peu plus loin dans le même chapitre ou celui de Jacques au chapitre II. Dans cet extrait, Roubaud nous est présenté à la fois in situ - l'attente de Séverine - et par la description qu'en propose le narrateur à travers l'image réfléchie du personnage dans le miroir. Chacune de ses deux perspectives permet au narrateur d'établir respectivement le portrait moral et physique du personnage.