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Voici un poème intitulé « Le Petit Endroit » ou « Le Petit « Coin » » dont le destinataire serait George Sand mais dont l'attribution est très controversée: Serait ce le fils de George, Sand Maurice Sand (poème envoyé à sa mère) ou Alfred Musset (poème envoyé à George Sand) ou bien encore Arago (poème envoyé à George Sand par son fils Maurice)? Le mystère entoure ce poème mais cela ne l'empêche pas d'être célèbre et d'être présent dans de nombreuses toilettes! Le Petit Endroit (ou Le Petit Coin) Vous qui venez ici dans une humble posture De vos flancs alourdis décharger le fardeau Veuillez quand vous aurez Soulagé la nature Et déposé dans l'urne un modeste cadeau Epancher dans l'amphore un courant d'onde pure Et sur l'autel fumant placer pour chapiteau Le couvercle arrondi dont l'auguste jointure Aux parfums indiscrets doit servir de tombeau Source:

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Voici un poème intitulé "Le Petit Endoit" ou le Petit "Coin" dont le destinataire serait George Sand mais dont l'attribution est très controversée: Serait ce le fils de George, Sand Maurice Sand (poème envoyé à sa mère) ou Alfred Musset (poème envoyé à George Sand) ou bien encore Arago (poème envoyé à George Sand par son fils Maurice)? Le mystère entoure ce poème mais cela ne l'empêche pas d'être célèbre et d'être présent dans de nombreuses toilettes! Le Petit Endroit (ou Le Petit Coin) Vous qui venez ici dans une humble posture De vos flancs alourdis décharger le fardeau Veuillez quand vous aurez Soulagé la nature Et déposé dans l'urne un modeste cadeau Epancher dans l'amphore un courant d'onde pure Et sur l'autel fumant placer pour chapiteau Le couvercle arrondi dont l'auguste jointure Aux parfums indiscrets doit servir de tombeau

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Aux vieux réverbères ( continuer... ) Y'a ceux qui fument de longs cigares Dans des voitures blanches à rallonges Qui ( continuer... ) Ne fermez pas vos portes, orgueilleuses bibliothèques, Car ce qui manquait sur ( continuer... ) Dans un coin de la ville ancienne disparue, Depuis douze ans bientôt passés, ( continuer... ) Diop a écrit, Afrique mon Afrique, Et il a décrit, Celle qu'il a aimée. Moi, ( continuer... ) Montée haute bise Il me souvient d'une table mise Un soir de vin couleurs ( continuer... ) Tenez, lecteur! - souvent, tout seul, je me promène Au lieu qui fut jadis la ( continuer... ) Il attend sous la pluie Le droit de faire ce qu'il veut de sa vie Sa femme lui ( continuer... ) À Georges Lorin. Longtemps après que toute vie Sur la terre veuve aura cessé, Les ( continuer... Le petit endroit poème sur. ) Le soleil, par degrés, de la brume émergeant, Dore la vieille tour et le haut ( continuer... ) Ô beautés de Marseille… vous avez une tournure vive et attrayante… vos cheveux… ( continuer... ) Les chars d'argent et de cuivre - Les proues d'acier et d'argent - Battent l'écume, ( continuer... ) Ma demeure est haute, Donnant sur les cieux; La lune en est l'hôte, Pâle ( continuer... ) Derrière les coteaux stériles de Kobbé Comme un bloc rouge et lourd le soleil ( continuer... ) La lune on ne la voit dans les fêtes.

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Arrête, gondolier; que ta barque un moment Cesse de fendre les lagunes; L'essor ( continuer... ) Paris la séductrice à l'âme étoilée puis brisée par la haine aux mille ( continuer... ) Mon enfant, si nous allions en Amérique dont j'ai toujours rêvé Sur un vaisseau ( continuer... ) Agréables jardins où les Zéphyrs et Flore Se trouvent tous les jours au lever ( continuer... ) Ah! si Vous avez à Tolède, Un vitrier Qui vous forge un vitrail plus raide Qu'un ( continuer... ) (Au Marquis de L. M. F) Oh! qui m'emportera vers les tièdes rivages, Où l'Arno ( continuer... ) Je veux, pour composer chastement mes églogues, Coucher auprès du ciel, comme ( continuer... ) Pauvres vieilles cités par les plaines perdues, Dites de quel grand plan de gloire, Vers ( continuer... ) Vois aux cieux le grand rond de cuivre rouge luire, Immense casserole où le Bon ( continuer... ) Ô ville, tu feras agenouiller l'histoire. Le petit endroit - le blog surfingmoune. Saigner est ta beauté, mourir est ta ( continuer... ) « Prends ma main. Voyageur, et montons sur la tour.

Vous qui venez ici dans une humble posture, Débarrasser vos flancs d'un importun fardeau, Veuillez, quand vous aurez soulagé la nature Et déposé dans l'urne un modeste cadeau, Épancher dans l'amphore un courant d'onde pure, Puis, sur l'autel fumant, placer pour chapiteau Le couvercle arrondi dont l'auguste jointure Aux parfums indiscrets doit servir de tombeau. Emmanuel Arago Cliquez ci-dessous pour découvrir un poème sélectionné au hasard. Message aux membres de Poetica Mundi! Chers membres de la communauté Poetica Mundi, n'oubliez pas: D'aller consulter les publications de la communauté (poèmes, quiz, messages); De télécharger vos nouveaux avantages (livres, activités, poèmes à imprimer, etc. ); Et de m'envoyer vos demandes spéciales. Le petit endroit : texte imprimé sur papier artisanal. Cliquez sur le lien suivant pour vous connecter ou devenir membre. Merci de me soutenir et de me permettre de vous offrir plus de 16 000 poèmes sur ce site sans publicité et de la poésie sur YouTube! Johann