Trois Ans Après - Les Contemplations (Hugo) : Commentaire Composé

Page 1 sur 50 - Environ 500 essais Commentaire composé: « trois ans après » de victor hugo 459 mots | 2 pages « Trois ans après », daté de novembre 1846, écrit par Victor Hugo, est le 3e poème du « Livre Quatrième: Pauca mea » du recueille: Les Contemplation. « Pauca Mea » rassemble des poésies de douleur, souffrance, où la mort de Léopoldine, fille de Victor Hugo, occupe une grande place. « Trois ans après » est la réponse de Victor Hugo à son public, qui le demande depuis son arrêt causé par la mort de sa fille. Il nous fait part de sa souffrance, et considère la mort de sa fille comme une injustice Commentaire littéraire "trois ans après" victor hugo (16/20) 1564 mots | 7 pages Rédaction commentaire: Trois ans après Victor Hugo Pauca Meae est le quatrième recueil des Contemplations de Victor Hugo en 1856. Trois ans après se trouve être le quatrième poème de cet œuvre, écrit en 1846, trois ans suivant le décès de sa fille Léopoldine, le 4 Septembre 1843. Dans ce poème, l'auteur rend un hommage particulier à sa fille en exprimant son deuil.

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Trois ans après – Les références Les contemplations – Livre quatrième: Pauca meae; Collection Bouquins chez Robert Laffont, Œuvres complètes de Victor Hugo – Poésie II, p 398. Trois ans après – L'enregistrement Je vous invite à écouter Trois ans après, un poème des Contemplations, Pauca meae, de Victor Hugo. Il est précédé de II. 15 février 1843 et suivi par IV. Oh! je fus comme fou…. Trois ans après 3 Trois ans après – Le texte III Il est temps que je me repose; Je suis terrassé par le sort. Ne me parlez pas d'autre chose Que des ténèbres où l'on dort! Que veut-on que je recommence? Je ne demande désormais À la création immense Qu'un peu de silence et de paix! Pourquoi m'appelez-vous encore? J'ai fait ma tâche et mon devoir. Qui travaillait avant l'aurore, Peut s'en aller avant le soir. À vingt ans, deuil et solitude! Mes yeux, baissés vers le gazon, Perdirent la douce habitude De voir ma mère à la maison. Elle nous quitta pour la tombe; Et vous savez bien qu'aujourd'hui Je cherche, en cette nuit qui tombe, Un autre ange qui s'est enfui!

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Biographie de l'auteur...................................................................................... …. Commentaire littéraire "trois ans après" victor hugo (16/20) 1564 mots | 7 pages Rédaction commentaire: Trois ans après Victor Hugo Pauca Meae est le quatrième recueil des Contemplations de Victor Hugo en 1856. Trois ans après se trouve être le quatrième poème de cet œuvre, écrit en 1846, trois ans suivant le décès de sa fille Léopoldine, le 4 Septembre 1843. Dans ce poème, l'auteur rend un hommage particulier à sa fille en exprimant son deuil. Il évoque ses états d'âme ainsi que son enquête sur le sens de la vie et de la mort. Il s'adresse dans les cinq derniers quatrains…. Biographie d'auteur célebre 2735 mots | 11 pages interrogation sur la pureté et la débauche, une exaltation de l'amour et une expression sincère de la douleur. Sincérité qui renvoie à sa vie tumultueuse qu'illustre emblématiquement sa relation avec George Sand. Commentaire La nuit d'octobre: De Musset écrit Les nuits juste après sa rupture avec G. Sand.

Trois Ans Après Victor Hugo Texte

Si ce Dieu n'a pas voulu clore L'œuvre qu'il me fit commencer, S'il veut que je travaille encore, Il n'avait qu'à me la laisser! Il n'avait qu'à me laisser vivre Avec ma fille à mes côtés, Dans cette extase où je m'enivre De mystérieuses clartés! Ces clartés, jour d'une autre sphère, Ô Dieu jaloux, tu nous les vends! Pourquoi m'as-tu pris la lumière Que j'avais parmi les vivants? As-tu donc pensé, fatal maître, Qu'à force de te contempler, Je ne voyais plus ce doux être, Et qu'il pouvait bien s'en aller? T'es-tu dit que l'homme, vaine ombre, Hélas! perd son humanité À trop voir cette splendeur sombre Qu'on appelle la vérité? Qu'on peut le frapper sans qu'il souffre, Que son cœur est mort dans l'ennui, Et qu'à force de voir le gouffre, Il n'a plus qu'un abîme en lui? Qu'il va, stoïque, où tu l'envoies, Et que désormais, endurci, N'ayant plus ici-bas de joies, Il n'a plus de douleurs aussi? As-tu pensé qu'une âme tendre S'ouvre à toi pour se mieux fermer, Et que ceux qui veulent comprendre Finissent par ne plus aimer?

Trois Ans Après Victor Hugo Analyse

Ô Dieu! vraiment, as-tu pu croire Que je préférais, sous les cieux, L'effrayant rayon de ta gloire Aux douces lueurs de ses yeux? Si j'avais su tes lois moroses, Et qu'au même esprit enchanté Tu ne donnes point ces deux choses, Le bonheur et la vérité, Plutôt que de lever tes voiles, Et de chercher, coeur triste et pur, A te voir au fond des étoiles, Ô Dieu sombre d'un monde obscur, J'eusse aimé mieux, loin de ta face, Suivre, heureux, un étroit chemin, Et n'être qu'un homme qui passe Tenant son enfant par la main! Maintenant, je veux qu'on me laisse! J'ai fini! le sort est vainqueur. Que vient-on rallumer sans cesse Dans l'ombre qui m'emplit le coeur? Vous qui me parlez, vous me dites Qu'il faut, rappelant ma raison, Guider les foules décrépites Vers les lueurs de l'horizon; Qu'à l'heure où les peuples se lèvent Tout penseur suit un but profond; Qu'il se doit à tous ceux qui rêvent, Qu'il se doit à tous ceux qui vont! Qu'une âme, qu'un feu pur anime, Doit hâter, avec sa clarté, L'épanouissement sublime De la future humanité; Qu'il faut prendre part, coeurs fidèles, Sans redouter les océans, Aux fêtes des choses nouvelles, Aux combats des esprits géants!
Si j'avais su tes lois moroses, Et qu'au même esprit enchanté Tu ne donnes point ces deux choses, Le bonheur et la vérité, Plutôt que de lever tes voiles, Et de chercher, cœur triste et pur, À te voir au fond des étoiles, Ô Dieu sombre d'un monde obscur, J'eusse aimé mieux, loin de ta face, Suivre, heureux, un étroit chemin, Et n'être qu'un homme qui passe Tenant son enfant par la main! Maintenant, je veux qu'on me laisse! J'ai fini! le sort est vainqueur. Que vient-on rallumer sans cesse Dans l'ombre qui m'emplit le cœur? Vous qui me parlez, vous me dites Qu'il faut, rappelant ma raison, Guider les foules décrépites Vers les lueurs de l'horizon; Qu'à l'heure où les peuples se lèvent Tout penseur suit un but profond; Qu'il se doit à tous ceux qui rêvent, Qu'il se doit à tous ceux qui vont; Qu'une âme, qu'un feu pur anime, Doit hâter, avec sa clarté, L'épanouissement sublime De la future humanité; Qu'il faut prendre part, cœurs fidèles, Sans redouter les océans, Aux fêtes des choses nouvelles, Aux combats des esprits géants!