Monstres On Ne Danse Pas Pour Rien

MONSTRE ON NE DANSE PAS POUR RIEN - Mon carnet de bord 2018-2019 MONSTRES ON NE DANSE PAS POUR RIEN Nous avons vu le spectacle « Monstres on ne danse pas pour rien » au théâtre de la rose des vents ce mardi 22 Janvvier à 20 heure. Ce spectacle à durée 1h10 et évoque beaucoup de sujets qui peuvent être politique mais aussi très HUMAIN. Créer des pièces au Congo est très difficile à cause de la censure et de la dictature et cela l'est encore plus quand c'est la danse contemporaine qui est mis en avant. Monstres / On ne danse pas pour rien | Zeitgeist. La danse contemporaine est aussi appelé « la danse des blancs » ce spectacle évoque toutes les difficultés que les artistes ont du traverser pour réussir à être libre sur scène. En effet, pour que cette troupe puisse exister le chorégraphe DeLaVallet Bidiefono a construit en 2015 un lieu en périphérie de Brazzaville, l'Espace Baning'Art, lieu dont il rêvait depuis plus de dix ans. Cette espace permet aux danseurs de se libérer et danser comme ils l'entendent. Ce spectacle est donc engagé et a pour but de faire passer un message et de s'exprimer.

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Elle est l'œuvre du chorégraphe DeLavallet Bidiefono. Les danses du collectif sont à la fois vivantes et violentes, comme l'histoire du Congo, car elles font références à la diversité des musiques du pays mais également a son passé douloureux ( notamment son génocide). C'est un spectacle avec plusieurs danseurs, faisant une danse pleine d'énergie et couverte de richesse. Pour conclure, même si la danse était très répétitive, tout comme la première fois au théâtre ( to a Bone), j'ai préféré celui ci car je trouve qu'il est plus travaillé ( plus de matériaux utilisés: du sable, des pelles, des masques, un décor avec des musiciens, de la farine et de la bière…) et plus riche en histoire, avec des dialogues sincères. Monstres on ne danse pas pour rien un. Je le conseille fortement, très beau spectacle! :)

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Il se tourne petit à petit vers la danse et en 2001, il s'installe à Brazzaville et entame sa carrière de danseur en participant notamment aux Ateliers de Recherches Chorégraphiques, organisés par le Centre Culturel Français de Brazzaville. Il y travaille avec de nombreux danseurs et chorégraphes, dont Daniel Larrieu, et nourrit son travail des influences métissées d'Afrique, d'Europe et d'Amérique. Monstres / On ne danse pas pour rien - TAP - Théâtre Auditorium de Poitiers. En 2005, il fonde la Compagnie Baninga au sein de laquelle il signe alors sa première pièce Liberté d'Expression, suivie par Pollution puis Ndjila na Ndjila - D'une route à l'autre en 2007 qui obtient le second prix du concours Danse l'Afrique Danse des 7 èmes Rencontres Chorégraphiques de l'Afrique et de l'Océan Indien. En 2009, Empreintes / On posera les mots après est travaillé au Centre Culturel Français de Brazzaville avec la collaboration artistique de Salia Sanou. La création en France, la première de la compagnie, a lieu lors du Festival des Francophonies en Limousin. La même année, il débute une collaboration avec David Bobée avec qui il crée Nos enfants nous font peur quand on les croise dans la rue, puis Hamlet.

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Au départ, il y avait tout à reconstruire. Les lieux, les hommes, les femmes, les espoirs. Il a fallu inventer, à partir de fragments de différentes histoires et différentes envies, des créatures ou des créations, autant de « monstres » dont le chorégraphe assemble les morceaux épars. Les murs sont remontés, des fissures colmatées. On a nourri les espoirs avec l'énergie de la danse. Ces monstres sont devenus une véritable force d'opposition poétique et artistique, face au régime en place. Monstres, on ne danse pas pour rien - LM magazine. Dans cette nouvelle création DeLaVallet Bidiefono évoque l'idée même de la construction: construire un lieu donc, mais aussi construire un parcours, une politique, une esthétique, des hommes et des femmes, construire l'espoir enfin et pour cela il place la danse au centre. Il montre comment des artistes construisent par eux-mêmes la politique culturelle de leur pays, devant le recul voire le renoncement du pouvoir en place. Le lieu, c'est l'Espace Baning'Art inauguré en décembre 2015. L'aboutissement d'un rêve vieux de dix ans, un lieu indépendant et outil de travail, un centre chorégraphique à Brazzaville.

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Né au début des années 80 à Pointe-Noire au Congo, DeLaVallet Bidiefono est tout d'abord chanteur avant de se consacrer à la danse. Cet autodidacte participe à plusieurs stages au Centre Culturel français et nourrit son travail d'influences métissées. En 2001, le jeune artiste s'installe à Brazzaville puis fonde en 2005 la Compagnie Baninga avec laquelle il crée et présente des spectacles. Le chorégraphe défend la danse contemporaine et œuvre pour sa reconnaissance dans un pays, le Congo, marqué par la dictature et les troubles depuis plus de 30 ans. Sans lieu réel de formation et poussé par l'envie d'avoir un espace de création et de transmission pédagogique, il décide d'acheter une parcelle en périphérie de la ville et de construire un lieu à l'aide de ses danseurs, des habitants du quartier, des tailleurs de pierre… L'Espace Baning'Art, plateau de danse unique au Congo Brazzaville est inauguré en décembre 2015. Monstres on ne danse pas pour rien de. DeLaVallet Bidiefono et son acolyte, l'auteur et metteur en scène Dieudonné Niangouna ont pour habitude d'appeler leurs créations des « Monstres ».

1. Le 13 janvier 2019, 18:30 par Aimery Une expérience et un voyage particulièrement émouvant Des danseurs expressifs et engagés fort de leur passion et de leur combat, des musiciens talentueux, un spectacle qui nous guide à travers cette expérience et nous partage avec une grande poésie ce qui mérite d'etre entendu et partager En bref c'est un Excellent spectacle avec de très bonne musique. De la pêche, c'est intelligent, bienveillant, beaucoup de vérité, non sans humours. Monstres on ne danse pas pour rien le. Même si il parait particulier au premier abord, on fini vite par comprendre le sens du spectacle. J'ai été agréablement surpris de la richesse du spectacle avec. des instruments, des chanteurs, du sable, plusieurs costumes et objets et même une scie circulaire!!! Un spectacle à voir absolument! 2. Le 13 janvier 2019, 18:37 par amine bordas Bonjour, Alors ce que j'ai pensais de ce second spectacle qui nous a été proposé, cela dure environ 1 heure et ce n'est pas seulement un spectacle de danse comme le premier, il y a plusieurs parties qui sont différentes mais qui peuvent revenir au début nous voyons des personnes qui "prépare" le spectacle ou plutôt l'introduit on pourrait dire à leur manière, la première chose qui ma étonné c'est d'où venait la musique?