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En 1925, Edward Hopper achève sa célèbre Maison au bord de la voie ferrée ( The House by the Railroad), qui est considérée comme l'un de ses meilleurs tableaux. Découvrez son histoire avec Lauranne Corneau. Cliquer sur le bouton rouge pour lancer le commentaire audio. Afficher en plein format Merci de réagir après l'écoute: votre avis est important pour nous Inscrivez-vous gratuitement à l'Encyclopédie sonore des Arts Visuels Pour vous inscrire gratuitement à l'Encyclopédie sonore des Arts Visuels, merci de nous laisser votre Email dans le formulaire ci-dessous: Faites découvrir l'Encyclopédie sonore des Arts Visuels à vos amis Il vous suffit de saisir l'Email de l'une de vos connaissances pour lui envoyer une invitation à découvrir l'Encyclopédie des Arts Visuels. Aidez-nous à faire progresser cette aventure passionnante. Texte intégral du commentaire, par Lauranne Corneau: Edward HOPPER – La maison au bord de la voie ferrée Vous vous demandez certainement où vous avez déjà vu cette maison?
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Edward Hopper Edward Hopper, né le 22 juillet 1882 à Nyack, New York, mort le 15 mai 1967 à Greenwich Village (New York), peintre et sculpteur américain. […] Continuer la lecture

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Hopper a peint cette toile avec de grands aplats de couleurs uniformes. La touche du pinceau y est peu visible. Il ressort de ces couleurs une ambiance de fin de journée morose: pas de clinquant ni de luxe, mais une sobriété mélancolique.. LA COMPOSITION: Le point de fuite et la ligne d'horizon sont placés juste au dessus du rebord de la fenêtre ce qui confirme la place de l'artiste au dessous de ses modèles. On peut retrouver ce point de fuite unique en traçant les seules fuyantes dans le tableau qui permettent de donner un peu de profondeur: elles sont situées en bas à gauche de la toile (rebord de fenêtre et rebord du mur). Les lignes qui dominent dans ce tableau à l'exception des lignes horizontales du rebord de la fenêtre qui viennent séparer intérieur et extérieur sont des verticales (voir ci-contre). Ces lignes verticales viennent cloisonner le tableau en plusieurs rectangles successifs. Cela renvoie aux frontières qui séparent le couple. L'espace peu profond (tous les objets ou presque se touchent) et les lignes verticales donnent une impression d'enfermement, d'isolement des personnages.

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8# Gas, 1940 Edward Hopper, Gas, 1940 Hopper n'est pas spécialement passionné par les grandes structures architecturales, les gratte-ciels ou autres édifices d'ampleur mais s'attarde davantage sur les maisons, les bâtiments anodins qui nous entourent et auxquels nous ne prêtons pas forcément toujours attention. Sans oublier un bureau encore allumé en soirée, le coin d'une pièce ou une station essence. 9# Nighthawks, 1942 Edward Hopper, Nighthawks (Les oiseaux de nuit), 1942 La transparence est chez Hopper une marque de fabrique. Il veut montrer l'indicible, nous place en tant que privilégiés pour déceler le vrai du faux. Par la présence régulière des fenêtres, il mise sur la perspective, la profondeur, de l'intérieur vers l'extérieur et inversement. On pense bien évidemment à la toile la plus célèbre de l'artiste américain, Nighthawks, dont la popularité est aujourd'hui planétaire. Cette toile résume à elle seule toute la complexité de l'Œuvre de Hopper. Le dehors et le dedans semblent se confondre par un jeu fascinant de lumière.

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Dès sa première exposition publique, l'oeuvre frappe la critique, qui en salue la puissance formelle, mais pas seulement. De son caractère à la fois familier et vaguement angoissant émane une très freudienne « inquiétante étrangeté ». Et pourtant, la demeure, majestueuse, symbole du style architectural en vogue au XIXe siècle en Amérique, se dresse, seule, au-dessus d'un chemin de fer, telle une icône entièrement baignée d'une lumière chaude. Rien de plus anodin, donc, que cette quiétude digne d'une fin de journée d'été. Mais c'est envahis d'une sensation étrange que nous tentons de pousser plus avant l'observation: pas d'animaux, pas d'arbres, pas de présence humaine dans cette composition. Pas de vie, en somme. Mais la maison, elle, semble vivante. Observez les fenêtres: est-ce le fait du soleil qui semble s'y refléter ou les stores baissés qui animent cette façade comme autant d'yeux, de nez, de bouches architecturales? Quoiqu'il en soit, c'est de ces questionnements que naît l'inquiétude.

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Maintenant, cherchez les portes… Il n'y en a pas! Ou du moins, elles ne sont pas visibles. Les architectures d'Hopper sont constamment impénétrables, comme mises à distance. L'effet est encore accentué par la présence très brutale du chemin de fer au premier plan, qui coupe dangereusement l'accès à cette belle demeure. Un train pourrait en effet passer furtivement d'un moment à l'autre, et bouleverser la plénitude de l'image. Ainsi, sans avoir recours aux procédés de narration traditionnels, l'artiste parvient avec brio à faire entrer ici les notions d'espace, de temps, de mouvement, et de bruit afin de conférer à l'image davantage de vie. Et c'est ainsi que, dans cette toile emblématique, l'artiste pose les jalons de son oeuvre à venir. Mais au-delà de la seule apparence formelle, c'est toute une réflexion philosophique qui s'incarne dans cette toile. Hopper, proche du courant transcendentaliste qui a marqué la Nouvelle-Angleterre un siècle auparavant, se livre ici à une illustration des théories de Ralph Emerson.

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