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Mais le 22 mai, elles ont finalement dû se conformer à la directive, face à « la pression et les menaces des Taliban ». Elles portaient toutes soit la burqa, soit un masque sur la moitié inférieure de leur visage. De nombreux hommes journalistes et présentateurs de télévision afghans ont alors porté des masques noirs en solidarité avec leurs collègues féminines. La tendance s'est même étendue, des journalistes de différents pays publiant des photos d'eux-mêmes portant des masques noirs en utilisant le hashtag #freeherface ("libérer son visage"). {{ unterText}} {{}} © {{ edits}} Beaucoup de journalistes afghans avaient quitté le pays ou s'étaient cachés, après le retour au pouvoir des Taliban le 15 août, craignant d'être persécutés. Manteau homme de travail pour. Au total, 257 médias ont depuis mis la clé sous la porte dans les trois mois suivant la prise de Kaboul, et de nombreux autres ont réduit leur personnel. Les premières victimes de cette répression massive de la presse ont été les femmes: beaucoup sont restées à la maison, craignant la réaction des Taliban si elles continuaient à travailler.

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"J'avais l'impression qu'ils avaient volé mon identité" Yalda Ali a raconté à la rédaction des Observateurs de France 24 sa vie de femme journaliste et présentatrice réputée de TOLOnews, sous le régime des Taliban: « Lorsque les Taliban ont pris Kaboul, j'ai décidé de rester en Afghanistan, car j'avais entendu dire qu'ils poursuivraient les familles des journalistes qui quittaient le pays. Je ne pouvais pas laisser ma famille endurer cela juste parce que je voulais fuir. J'ai décidé de rester, comme ça si les Taliban venaient me chercher, ils n'arrêteraient que moi et laisseraient ma famille tranquille. J'ai donc tenu bon. Manteau homme de travail un. Dans les deux semaines qui ont suivi la prise de Kaboul par les Taliban, notre chaîne de télévision était fermée. Après cela, j'ai appris qu'un de mes collègues masculins allaient commencer à présenter « Bamdad-e-Khosh », soit l'émission que j'animais. Cela m'a beaucoup attristée, j'ai pleuré. J'ai pensé: « C'est fini, ils ont supprimé les femmes de la scène et il n'y aura plus que des hommes à partir de maintenant".

Chaque jour, je recevais des messages d'hommes et de femmes qui me disaient combien ils étaient heureux de me voir dans l'émission. Mais il fallait faire quelques compromis. Les Taliban avaient clairement indiqué que les tenues des femmes à la télévision devaient être conformes aux règles islamiques, telles qu'ils les définissent. J'ai dû porter un manteau noir surdimensionné pour cacher les "courbes de mon corps" et couvrir très soigneusement mes cheveux. Avant, j'avais l'habitude de porter des robes colorées et de montrer mes cheveux. Manteau d'hiver de travail pour homme. Toutes mes tenues, c'est moi qui les choisissais. Yalda Ali and one her colleagues from TOLOnews in May 2021, before the Taliban took the country. C'était comme ça jusqu'au 19 mai. J'enregistrais une vidéo promotionnelle pour notre émission lorsque le responsable du plateau est entré dans le studio et m'a dit: "Je suis désolé, mais vous allez devoir porter un masque pour couvrir votre visage". Cette décision est intervenue deux semaines après que les Taliban ont ordonné à toutes les femmes afghanes de porter la burqa dans les lieux publics, ce qui a suscité des protestations de la part de certains militants des droits des femmes.