Surveillance Post Opératoire Anesthesia Générale Journal

Dans les maternités, la SSPI peut consister en une salle de travail située dans l'unité d'obstétrique (en cas d'anesthésie générale ou loco-régionale pour des accouchements par voie basse). Il peut aussi s'agir d'une salle où sont pratiquées des activités de sismothérapie, sous réserve que les patients puissent bénéficier des conditions de surveillance équivalentes à celles des SSPI. Une possibilité: la chambre ou un espace spécifique adapté L'article D. 6124-98-1 précise que lorsque l'état de santé du patient le permet, la surveillance post-interventionnelle peut également être réalisée en chambre ou dans un espace spécifique adapté prévu à l'article D. Surveillance post opératoire anesthésie générale le 30 novembre. 6124-302 régissant le secteur ambulatoire, sous réserve toutefois de la réunion de cinq conditions cumulatives: Une surveillance réalisée par un infirmier ou une infirmière dont les qualifications sont adaptées à ce type de surveillance. Une intervention sans incident per opératoire, sous anesthésie topique seule ou sous anesthésie locorégionale périphérique, sans anesthésie ni sédation intraveineuses associées.

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La douleur est généralement temporaire et diminue en intensité dans les heures ou jours qui suivent la chirurgie. Le soulagement de la douleur permet au patient de récupérer plus rapidement et de prévenir certaines complications. Une prise en charge optimale de la douleur permet au patient de bouger plus rapidement et de mieux respirer, dormir et manger. L'anesthésiologiste s'assure de diminuer la douleur lors du réveil du patient et participe souvent à assurer son confort dans les jours qui suivent la chirurgie. Les complications post-anesthésiques - Cours soignants. Le rapport à la douleur est subjectif et varie selon les patients. Afin de personnaliser le traitement de la douleur et d'assurer son suivi, on utilise des échelles d'évaluation, comme l'échelle numérique. Cette échelle permet au patient de situer sa douleur entre 0 et 10 (0: aucune douleur, 10: douleur à intensité maximale). Cette évaluation est approximative, mais associée à d'autres paramètres, elle confirme l'efficacité du traitement antidouleur et des posologies adaptées aux besoins du patient.

2 Répercussions de l'hypothermie et des frissons sur le réveil post-anesthésique L'hypothermie retarde le réveil en abaissant la MAC (Monitored Anesthesia Care: suivi de soins d'anesthésie) des halogénés et fait apparaître une curarisation résiduelle au réveil La dépense énergétique nécessaire au rétablissement de la normothermie majore la consommation en oxygène Le frisson s'accompagne d'une hypercatécholaminémie et d'une vasoconstriction entraînant une augmentation de la pression artérielle et du débit cardiaque. Le frisson répond bien aux morphiniques et aux alpha-2 agonistes 5. Complications digestives 5. Surveillance post opératoire anesthesia générale 3. 1 Nausées et les vomissements postopératoires (NVPO) Jeune âge Femme en période d'activité génitale Sujet anxieux en préopératoire Antécédent de mal des transports Absence de tabagisme 6. Complications urinaires 6. 1 Rétention urinaire postopératoire (RUPO) Facteurs favorisants: Anesthésie rachidienne Hypovolémie peropératoire Ischémie rénale Utilisation de produits potentiellement néphrotoxiques (antiinflammatoires, aminosides, produits de contraste)