Thérèse Raquin, Chapitre Ii - Émile Zola (1867)

Conclusion Cette scène de la nuit de noces repose sur le portrait de Camille et le registre fantastique. Le cadavre de la victime hante la mauvaise conscience des deux meurtriers. Or cette scène était déjà préparée par la scène de la morgue, au chapitre 13. Resume chapitre therese raquin. (pour voir le commentaire du chapitre 13, clique ICI) En effet, au cours de cet épisode, Laurent constatait que le corps de Camille avait été retrouvé. Nous espérons que « Therese Raquin chapitre 21 » a été utile. D'ailleurs si tu as des questions, poste-les dans les commentaires. Ensuite, si tu as apprécié, « Therese Raquin chapitre 21 » tu aimeras sûrement: – le commentaire de l'incipit de L'Oeuvre (chapitre 1) – Thérèse Raquin (chapitre 1) Thérèse Raquin (chapitre 32) – Fiche sur le naturalisme

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» Il reprit sa marche de long en large, baissant la tête, sentant que le portrait le regardait, le suivait des yeux. Il ne pouvait s'empêcher, par instants, de jeter un coup d'œil du côté de la toile; alors, au fond de l'ombre, il apercevait toujours les regards ternes et morts du noyé. Thérèse Raquin - Émile Zola. La pensée que Camille était là, dans un coin, le guettant, assistant à sa nuit de noces, les examinant, Thérèse et lui, acheva de rendre Laurent fou de terreur et de désespoir. I) Therese Raquin chapitre 21: Le portrait de Camille A/La peinture réalisée par Laurent Tout d'abord, le champ lexical de la peinture montre à quel point elle est essentielle dans cet extrait: « portrait, peinte, toile, dessiné, cadre ». En effet, Laurent est à l'origine du portrait de son ami Camille comme il est à l'origine de sa mort. Ce face à face avec le portrait de sa victime fait donc surgir sa culpabilité. Puis le point de vue est interne au meurtrier: «Laurent crut avoir une hallucination » montre la culpabilité ressentie par Laurent.

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Camille resta un mois sans pouvoir trouver un emploi. Il vivait le moins possible dans la boutique, il flânait toute la journée. L'ennui le prit à un tel point, qu'il parla de retourner à Vernon. Enfin, il entra dans l'administration du chemin de fer d'Orléans. Il gagnait cent francs par mois. Son rêve était exaucé. Le matin, il partait à huit heures. Il descendait la rue Guénégaud et se trouvait sur les quais. Alors, à petits pas, les mains dans les poches, il suivait la Seine, de l'Institut au Jardin des Plantes. Cette longue course, qu'il faisait deux fois par jour, ne l'ennuyait jamais. Resume par chapitre therese raquin les. Il regardait couler l'eau, il s'arrêtait pour voir passer les trains de bois qui descendaient la rivière. Il ne pensait à rien. Souvent il se plantait devant Notre-Dame, et contemplait les échafaudages dont l'église, alors en réparation, était entourée; ces grosses pièces de charpente l'amusaient, sans qu'il sût pourquoi. Puis, en passant, il jetait un coup d'œil dans le Port aux Vins, il comptait les fiacres qui venaient de la gare.

Je suis restée là toute douce, toute silencieuse, rêvant de frapper et de mordre. " Le champ lexical de la mort est déjà présent dans cet extrait car Thérèse, pour sauver sa propre vie, semble ne pas avoir d'autre choix que celui d'assassiner Camille: "je ne m'explique pas comment il y a encore du sang dans mes veines… J'ai baissé les yeux, j'ai eu comme eux un visage morne et imbécile, j'ai mené leur vie morte. "