Texte Pour Clown

Il est aussi l'héritier des facéties des personnages de la comédie et des drames satyriques antiques comme Phylaques, Bromios le turbulent. Comme eux, il a la prétention de nourrir les dieux avec son rire. Son costume s'inspire du Stupidus ou Parasitus romain, à qui il doit le cône pointu qui reste l'un de ses couvre-chefs préférés. Il lui doit aussi son amour fou des couleurs et l'usage de la pantomime qui fait de son corps une deuxième bouche qui contredit ou affirme ce que dit sa première bouche. Texte pour clown french. Il trouvera au moyen-âge de nouvelles couleurs et un répertoire poétique grâce aux jongleurs, aux troubadours, aux minnesängers ainsi qu'une allégresse burlesque chez les sots et les bateleurs. Il affirmera son goût des répliques et une audace qui n'a peur ni des dieux ni des rois grâce aux Jesters et aux bouffons élisabéthains. Il développera sa souplesse avec la Commedia Del Arte trouvant ici un tremplin nouveau pour sauter dans tous les sens et accroître son gout inné pour l'improvisation.

  1. Texte pour condoléances simple

Texte Pour Condoléances Simple

Des fois, j'ai hâte d'être un vieux. Ils sont bien, les vieux, on est bon pour eux, ils sont biens. Ils ont personne qui les force à travailler; on veut pas qu'ils se fatiguent. Même que la plusssspart du temps, on les laisse pas finir leur ouvrage. On les stoppe, on les interruptionne, on les retraite fermée. On leur donne leur appréhension de vieillesse et ils sont en vacances.... Ah! Texte pour clown et. Ils sont bien les vieux! Et puis, comme ils ont fini de grandir, ils ont pas besoin de manger tant tellement beaucoup. Ils ont personne qui les force à manger. Alors de temps en temps, ils se croquevillent un petit biscuit ou bien ils se retartinent du pain avec du beurre d'arrache- pied, ou bien ils regardent pousser leur rhubarbe dans leur soupe... Ils sont bien... Jamais ils sont pressés non plus. Ils ont tout leur bon vieux temps. Ils ont personne qui les force à aller vite; ils peuvent mettre des heures et des heures à tergiverser la rue... Et plus ils sont vieux, plus on est bon pour eux. On les laisse même plus marcher...

Le septième jour, il dut se reposer tellement il riait encore!