Modèle De Wilson

La quantité restant pertinente, il suffit simplement de mettre de côté la fréquence optimale ( F) que donne le modèle pour commander plus en période de forte demande et moins lorsque la demande est faible. Le prix Le modèle ne prend pas non plus en compte les tarifs dégressifs. En effet, le prix d'achat n'est pas toujours constant car les prix peuvent varier en fonction de la quantité commandée. La quantité optimale à commander que va donner la formule de Wilson en fonction de la demande ne sera peut-être pas la quantité optimale en fonction des prix d'achat. Il peut donc être intéressant de commander plus sur une période et moins sur une autre. Les coûts de stockage La formule de Wilson considère également tous les coûts d'entrepôt comme fixes. Or, de nombreux coûts variables viennent s'ajouter aux coûts fixes La main d'œuvre, L'électricité, Le transport, Etc. Ce sont des coûts qui, par exemple, viennent s'ajouter à l'amortissement des machines dans l'usine, un coût fixe et réparti. Les délais Le modèle de Wilson considère les délais de commande et livraison comme stables et constants.

Moodle De Wilson

En 1934, R. H. Wilson analyse puis développe une méthode de calcul mathématique: le modèle de Wilson, qui détermine la quantité, et donc par extension la période optimale, de réapprovisionnement d'un site (usine, magasin, entrepôt). Le modèle de Wilson existe sous plusieurs dénominations: Quantité Économique de Commande, Economic Order Quantity (EOQ), Formule du lot économique. La méthode de calcul En respectant ces dénominations: Q = La quantité optimale de la commande. C'est ce que l'on recherche, D = La demande. Elle est généralement évaluée sur une période fixe et annuelle (12 mois). Il s'agit de définir combien d'unités comptent être utilisées pour la vente ou la production, C = Le coût de la commande. Il doit inclure les coûts de transport, de réception mais aussi de gestion de la marchandise, appelés coûts de passation (processus administratif, comptable, etc. ), CS = Le coût de stockage. Cela comprend la main d'œuvre et tout ce qui concerne le bâtiment qui stocke la marchandise (électricité, chauffage, assurance, inventaire, etc. ).

Modèle De Wilson

Les « mécanismes d'activation » identifient les impulsions pertinentes qui incitent à la décision de rechercher des informations et intègrent des théories comportementales telles que la « théorie du stress/d'adaptation », la « théorie du risque/récompense » et la « théorie de l'apprentissage social ». Modèle imbriqué En 1999, Wilson a développé un modèle emboîté qui rassemblait différents domaines de recherche dans l'étude du comportement informationnel. Le modèle représentait les sujets de recherche comme une série de champs imbriqués, avec le comportement informationnel comme domaine général d'investigation, le comportement de recherche d'informations comme sous-ensemble et le comportement de recherche d'informations comme sous-ensemble supplémentaire. Un modèle évolutif Le modèle de Wilson a changé au fil du temps et continuera d'évoluer à mesure que la technologie et la nature de l'information changent. Le modèle a été cité et discuté par des leaders dans le domaine des sciences de l' information, et peut être intégré à d'autres théories importantes du comportement informationnel.

Modèle De Wilson Avec Pénurie

Comme à chaque début de période on commande exactement les unités pour la consommation de la période, le stock initial est et le stock final est nul. On a donc un stock moyen de unités. Avec un coût de stockage par unité et par jour de euros, le coût de stockage par unité de temps est de. Le coût de lancement d'une commande est noté, soit euros par unité de temps. On peut donc exprimer le coût total de gestion par unité de temps en fonction de la période de réapprovisionnement par: Cette fonction de coût (hyperbolique) est minimale pour Et la quantité que l'on doit commander à chaque livraison est la suivante: Les limites de cette formule résident dans le fait qu'elle est extrêmement dépendante de deux paramètres subjectifs: les coûts de stockage et de lancement. En effet, les coûts de stockage sont en partie non proportionnels à la quantité stockée (c'est le cas par exemple du coût de location du hangar, structure), et les coûts de lancement sont difficiles à évaluer: lancer une commande supplémentaire coûte le temps des salariés qui sont rémunérés (charge de travail affectée à une tâche), et quelques frais de papier/téléphone.

Modèle De Wilson Formule

Le nouveau modèle Il a également montré les besoins physiologiques, affectifs et cognitifs qui donnent lieu à un comportement de recherche d'informations. Le modèle a reconnu qu'un besoin d'information n'est pas un besoin en soi, mais plutôt un besoin qui découle d'un besoin psychologique antérieur. Ces besoins sont générés par l'interaction des habitudes personnelles et des facteurs politiques, économiques et technologiques dans l'environnement d'un individu. Les facteurs qui déterminent les besoins peuvent également entraver la recherche d'informations d'un individu. Deuxième révision en 1997 En 1997, Wilson a proposé un troisième modèle général qui s'appuyait sur les deux précédents. Ce modèle incorporait plusieurs éléments nouveaux qui aidaient à mettre en évidence les étapes vécues par la « personne en contexte », ou chercheur, lors de la recherche d'informations. Celles-ci comprenaient une étape intermédiaire entre la reconnaissance d'un besoin et l'initiation de l'action, une redéfinition des barrières qu'il proposait dans son deuxième modèle comme des « variables d'intervention » pour montrer que les facteurs peuvent être favorables ou préventifs à une boucle de rétroaction, et une « activation mécanisme".

La demande au système d'information ou à la source d'information peut échouer ou réussir. Pour l'auteur, le succès mène alors à l'utilisation de l'information obtenue. L'originalité du modèle est d'inclure dans la composante « utilisation de l'information » le transfert et l'échange d'information entre personnes et la boîte « Failure » qui ne mène à rien. Wilson lui-même reconnaît les limites de son modèle: « Il ne fait guère plus que fournir une carte du champ et attirer l'attention sur les lacunes dans la recherche; il ne propose aucune suggestion de facteurs causatifs dans le comportement informationnel et par conséquent, il ne suggère pas directement d'hypothèses à tester » (Wilson 1981, 251-252, notre traduction). 16 Ces limites, entre autres, ont motivé l'élaboration du second 15 Les besoins physiologiques sont entre autres le besoin de nourriture, d'eau, ou de logement. Les besoins cognitifs se réfèrent au besoin d'acquisition de connaissances, d'acquisition de compétences ou de découverte.