Un Bon Voisin Est Un Voisin Mort
Ce qui permet de grandes conversations complexes et enlevées, je ne vous le cache pas. Normalement, ils sont justes odieux, du genre, tu leur dis bonjour, y se retournent, te regardent, te répondent pas et se remettent à bosser en parlant fort et en faisant des blagues grasses (« c'est l'histoire d'une pute… »). Seule phrase semi-évoluée qu'y m'ont sortie depuis le début, c'est quand je faisais un tour de la maison l'autre jour. Ils m'ont dit: « Alors, ça se promène? ». Phrase mythique à laquelle j'ai répondu (attention, réponse mythique): « Et oui! ça se promène! ». Voisin... Mort ?. Putain, bonjour l'adaptation sociale. Bref, j'en ferai jamais mes meilleurs potes. Et j'ai très hâte que ça se termine cette connerie… mais comme c'est pas du tout fini et qu'ils ont déjà presque une année de retard, l'espoir d'une fin prochaine n'est pas vraiment de mise. Voilà pour les méchants voisins (c'est déjà pas mal). Pour les gentils voisins, RDV au prochain post. D'ici là, portez vous bien les gens, T.
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» « La vie est un mystère dont la mort en fait partie. Mais nous ne sommes jamais préparés à perdre des gens auxquels nous tenons. Je partage vos douleurs et votre perte. Qu'il repose en paix. » « Face à la perte qui vous frappe, mes pensées vont vers vous et je vous adresse mes plus sincères condoléances. Je vous souhaite force et courage pour affronter cette douloureuse épreuve. « En ce moment de deuil, je vous assure de ma plus profonde sympathie et vous adresse ainsi qu'à votre famille mes sincères condoléances. Un bon voisin, est un voisin qui a déménagé... - Chadik. Je vous souhaite toute la force nécessaire pour affronter cette épreuve. » « En ce moment si douloureux, laissez-nous vous présenter nos plus sincères condoléances. Pour nous, XXX était un voisin exemplaire et aimable qui n'a pas hésité d'apporter son aide à ses entourages. » « À cette dure épreuve, nous prions Dieu pour qu'il vous donne le courage et la force de surmonter cette situation douloureuse. Nous vous exprimons le témoignage de nos profondes sympathies. »
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Gens, Bonjour! C'est moi. Sonia. Où c'est qu'on en était de la dernière fois avant que je parte en Zagrébie déjà? Ah ouais. V'là que j'étais en train de te causer du fait que j'avais de gros problèmes avec le dessus de ma maison... Si tu t'en rappelles pas, c'était LA. En gros, j'habite au dernier étage d'un immeuble là-bas dans le 16ème populaire. Un bon voisin est un voisin mort pdf. Enfin, quand je dis "dernier" c'est une image hein... Quand j'a acheté l'appart', j'a demandé à la dame de l'agence: ya quelque chose au-dessus de ma tête? Nan passque moi j'aime pas quand ya quelque chose qui marche au plafond, ça me stresse tu comprends? Elle a répondu: bon tu le signe ton chèque oui? Rhooooooo non, ya juste une chambre de bonne avec personne dedans je crois... Traduction: 16 m² occupés par une famille de 3 personnes. Que j'ai immédiatement surnommés "Monsieur et Madame Connasse". Bon alors, un jour ils sont partis. Moi j'ai montré mes nichons au proprio en disant: vaz-y vends-moi la chambrette que j'en fasse un duplex! Visblement, mes nichons ils étaient pas encore assez gros, pisqu'il a décidé de louer la chambre à quelqu'un d'autre...
Après il est parti avec mes pommes sans dire merci, ni au revoir. Mais j'étais encore en vie. Et le lendemain, il m'a offert 256 bulbes de jonquilles… Mais keski voulait qu'je foute avec 256 bulbes? J'aime pas ça en plus les jonquilles. Bon, c'était quand même sympa, on va pas critiquer, et puis je préfèrais définitivement être de leur côté que faire partie de leurs ennemis. En plus, Robert, il est venu me voir l'autre jour avec un air minab' pour que je lui tape son CV et que je l'imprime. Depuis, je le tutoie et on va aux putes ensemble. Bref, la vraie entente entre voisins comme on l'aime (mais je restais quand même sur mes gardes: ça faisait quatre jours que j'avais pas vu Raymonde. Un bon voisin est un voisin mort ! (Proverbe Couscoussien) - Les Chroniques de Sonia. Avec la chance que j'avais, il l'avait butée à grand renfort de machette et elle pendouillait à un crochet de boucher dans sa grange)! Par ailleurs, et sans lien direct avec les voisins précédents, mon village était envahi par des chats sauvages dont la prolifération systémique était entretenue par un de mes voisins (l'affreux Monsieur Pivert, prof d'espagnol, qui a une peur panique des frelons) qui les nourrit en disant « y sont kro mignons ».