Toujours Et Jamais... Les Deux Mots Infernaux :: My Universe Cool

Et oui, il faut TOUJOURS apprendre sa poésie et ne JAMAIS oublier de la réciter! Voici un drôle de texte que je propose à la classe: "Toujours et Jamais". Ce texte a été écrit par un poète peu connu de le fin du XXème siècle, Paul Vicensini. Le texte en lui même n'a rien d'exceptionnel mais nous allons le rendre exceptionnel puisque les enfants l'apprendront... à deux! Toujours et Jamais Etaient toujours ensemble Ne se quittaient jamais. On les rencontrait Dans toutes les foires. On les voyait le soir Traverser le village Sur un tandem. Poésie toujours et jamais à imprimer pdf. Toujours guidait Jamais pédalait C'est du moins ce qu'on supposait... Ils avaient tous les deux Une jolie casquette: L'une était noire à carreaux blancs L'autre blanche à carreaux noirs. A cela on aurait pu les reconnaître Mais ils passaient toujours le soir Et avec la vitesse... Certains d'ailleurs les soupçonnaient Non sans raison peut-être D'échanger certains soirs leur casquette. Une autre particularité Aurait dû les distinguer L'un disait toujours bonjour L'autre toujours bonsoir.

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Toujours et Jamais Toujours et Jamais étaient toujours ensemble Ne se quittaient jamais On les rencontrait dans toutes les foires On les voyait le soir traverser le village Sur un tandem Toujours guidait Jamais pédalait C'est du moins ce qu'on supposait Ils avaient tous les deux une jolie casquette L'une était noire à carreaux blancs L'autre blanche à carreaux noirs À cela on aurait pu les reconnaître Mais ils passaient toujours le soir Et avec la vitesse... Certains d'ailleurs les soupçonnaient Non sans raison peut-être D'échanger certains soirs leur casquette Une autre particularité Aurait dû les distinguer L'un disait toujours bonjour L'autre toujours bonsoir Mais on ne sut jamais Si c'était Toujours qui disait bonjour Ou Jamais qui disait bonsoir Car - entre nous - comme ils étaient toujours ensemble Ils ne s'appelaient jamais. Paul Vincensini (1930 – 1985) L'auteur Paul Vincensini né en 1930, à Bessans, d'un père corse et d'une mère savoyarde, et mort le 10 novembre 1985, est un poète français.

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Le "plus jamais" et le " Toujours" par Marcek Plus jamais tes bras autour de moi Mais toujours ton coeur près du mien Plus jamais ta voix qui m'appelle Mais toujours ta présence invisible Plus jamais les heures partagées Mais toujours le miel des jours à deux Plus jamais tes pas dans la maison Mais toujours mes pas sur ton chemin Plu unis que jamais malgré les verrous de la mort Plus aimants que jamais malgré le silence éternel Plus heureux que jamais d'avoir construit à deux Une vie de bonheur que tu habiteras toujours Parmi les tiens Poème posté le 15/10/10 Poète

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* A Rainer Maria Rilke Ce texte est la propriété de son auteur. Vous n'avez en aucun cas le droit de le reproduire ou de l'utiliser de quelque manière que ce soit sans un accord écrit préalable de son auteur.

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Mais on ne sut jamais Si c'était Toujours qui disait bonjour Ou Jamais qui disait bonsoir. Car entre eux ils s'appelaient toujours Monsieur Albert, Monsieur Octave. Paul VINCENSINI Guy

Acceptons que demain, comme aujourd 'hui, demeure Un jour d' espoir et de chagrin; Il est beau de goûter le plaisir souverain Dans l' étroit calice d'une heure! Je refuse de croire à des jours aplanis Où pour nous deux l' injuste chance Arrêterait soudain, dans le temps infini, L ' oscillement de ses balances. Poésie toujours et jamais à imprimer. Certes j' eusse voulu charger d'un gai bonheur Ma méditative caresse, Mais peut-être ai-je mieux apparenté nos coeurs Si je t'ai donné la tristesse... Poème de l'amour Poèmes de Anna de Brancovan, comtesse de Noailles Citations de Anna de Brancovan, comtesse de Noailles Plus sur ce poème | Commenter le poème | Imprimer le poème | Envoyer à un ami | Voter pour ce poème | 371 votes Peut-être jamais ne saurai-je Pourquoi tu te taisais! L'été, L 'azur, les nuits claires, la neige, Comme ton visage entêté, N 'ont rien pour les interpréter! Ils brillent, parfument, rayonnent, Implacables, distraits, charmants, Sans rien répondre à nos tourments - Mais, hélas! ce coeur de lionne, Ce coeur puissant, ce coeur adroit, Qui, pour ne pas troubler ton calme, Se suspendait au loin sur toi, Plus léger que l' ombre des palmes, Que l' arôme immense et sans poids, Faut-il vraiment qu'il se détruise, Et faut-il que nul ne te dise, Pour ne pas déranger ta paix, Que c'est l' univers qu'il comblait!