Pasteur Roger Parmentier Md

Le fait que, pas plus qu'à Constantine, peu de femmes portent encore la m'laya noire, vêtement de deuil pour un bey très aimé du XVIIIème, siècle, y contribue également. Musée archéologique moderne particulièrement bien présenté avec des mosaïques uniques. En face de notre hôtel, la fontaine Aïn el Foura, avec à son sommet une statue de femme nue. Pasteur roger parmentier md. On s'interroge sur le fait que les islamistes, y compris pendant la décennie noire, n'y ont pas touché. Il faut croire que l'Algérie n'est pas l'Afghanistan ou le Nord Mali. La légende veut que celui qui boira de son eau y reviendra et plusieurs de nos participants y ont goûté. Avec le père Maurice, curé de Sétif, nous rendons un hommage au pasteur Roger Parmentier, ex pasteur de Sétif qui devait être du voyage, mais est décédé voilà trois semaines. Témoignage de ceux qui l'ont connu, lecture d'un passage d'un de ses 23 livres (« Musulmans, nous vous aimons et nous vous respectons ») et d'un texte de prière que nous lit le père Maurice. Celui-ci nous parle ensuite de son propre parcours au service des Algériens en France au moment de la guerre et ensuite en Algérie.

Pasteur Roger Parmentier Park

Courrier des lecteurs Pierre Jeannet nous écrit en 2017 À propos de l'auteur Alain Rey Directeur de la publication Hier & Aujourd'hui Pasteur de l'EPUdF Études à Montpellier, Berkeley et Genève Pasteur à Fleury-Mérogis, Mende, au Defap et à la Cevaa Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

compagne de sa vie de chercheur puis de professeur. Des fréquents voyages en Espagne qui suivirent et des dépouillements qu'il fit dans les fonds manuscrits, il garda de précieuses notes, dont certaines restées inédites et inexploitées ont été confiées par lui-même quelques jours avant son décès à l'Institut de recherche et d'histoire des textes. Pierre Jeannet - Amicale des pasteurs français à la retraite. En 1960, il avait quitté définitivement le métier d'archiviste, pour occuper d'abord une charge de recherche au CNRS, puis à partir de 1963 une direction d'études en «Histoire des sciences au Moyen Âge » à l'École pratique des hautes études, où lui avait été confiée dès 1956 une charge de conférence. Jusqu'à son départ à la retraite en 1993, son séminaire hebdomadaire du mercredi, à la Sorbonne de 17 à 19 heures, devint une sorte de conviviale et savante institution où se rencontrèrent des auditeurs aux formations et aux ambitions fort diverses, depuis l'élève de l'École des chartes, le jeune universitaire historien, philosophe ou littéraire, jusqu'à l'ingénieur passionné par la science médiévale ou le spécialiste étranger, déjà chevronné, de passage àParis.